" Nan, mais t'y es carrément pas, là ! Nate, putain : t'abuses.
- Je te recouvre de matière fécale, si t'es pas contente ! "
- Je te recouvre de matière fécale, si t'es pas contente ! "
Une phrase, qui maintes fois répétée, commence enfin à prendre du sens. C'est parti de rien, une histoire d'homosexualité refoulée, de paquet de chips, un barbecue sur la plage, ainsi qu'une vague histoire de télétubbies mégalomanes venus conquérir le monde.
Puis un coup de téléphone, alors que je me rinçais les tifs'...
" Tu peux pas aller te faire foutre 5 minutes ?
- Je serais payée combien ? "
Putain, je rêve.
" Tu branles qui cet après-midi ?
- Je suis censé bosser. "
J'étais.
- Je suis censé bosser. "
" T'étais. 15h, à l'HDV.
- J'ai mon mot à dire quand même, nan ?
Une phase qui maintes fois répétée, commence enfin à prendre du sens.
Je sais ce que je veux.
"Nan !"
(That's what I call - "a lovely day".)