Lundi 7 juillet 2008 à 2:12

Besoin de rire...


Envie d'un sourire, envie d'en découdre une fois pour toute.
J'ai toujours été là pour les autres, dès lors qu'ils me semblaient tracassés, ennuyés, tristes, j'ai toujours essayé de leur remonter le moral à ma façon.

Quant à moi ce soir j'ai juste besoin d'évacuer, je cumule tant et tant, depuis bien trop longtemps, j'ai peur qu'un jour ça explose, que les paroles fusent, et sur une mauvaise personne.
Je ne tiens absolument pas à emmerder les autres avec mes soucis, franchement, à quoi ça mènerait, j'ai toujours été apte à me démerder tout seul depuis déjà tout petit...

Seulement des fois il faut que ça sorte, à ce moment là je pars m'isoler pour de bon dans un coin paisible toute la journée à ruminer mes pensées...
Mais je commence à croire que ça ne mène plus à rien. Marcher toute la journée ne me détend plus autant qu'avant, il m'arrive même parfois de revenir plus énervé qu'à mon départ...

J'ai toujours considéré mes problèmes comme secondaires, j'ai toujours mis ceux des autres en avant vis à vis des miens... mince, j'en peux plus maintenant.

[Une grande bouffée d'air]

Tant d'absurdités dans la tête, tant de... de conneries à dire.

Je suis désolé, encore et toujours. Mais y a des fois ça ne suffit plus.
Désolé de ne pas encore être prêt à m'ouvrir totalement, à me confier à qui que ce soit, même à mes plus proches amis.

Y a des fois où je regrette vraiment certains moments du passé, je ne souhaite plus qu'à les effacer de ma mémoire, ces souvenirs si importants et si bêtes à la fois.


Depuis tant de temps je vais faire comme j'en ai pris l'habitude...
Simplement faire avec.

Vendredi 4 juillet 2008 à 1:21

Conversation d'une autre nuit.


Nihil, Linih, des noms, rien de plus?

Ou peut-être pas.
Simplement un endroit où se réfugier sans avoir à expliquer son comportement lunatique, qui d'un soir à l'autre ne change que trop souvent.

Aujourd'hui je m'affiche plutôt Linih, qui est-ce, pourquoi, laissons les autres en juger.

Néanmoins je m'éclipse aujourd'hui derrière un groupe de 15 personnes, peu ou bien nombreux vous en conviendrez, qui je n'ai, je pense, jamais remercié pour l'année que j'ai pu passer.

Aucun évènement majeur de ma vie, que dis-je, si bien sûr, plusieurs même, mais aucun, je dis bien -aucun- soucis digne d'être dit important, ne s'est manifesté dans ma vie.

Egoïste?
Non, pas ce soir. Pas cette nuit. Plus maintenant?

Alors maintenant, rien que pour ça, je vous salue bien bas, et ne vous remercierais jamais assez de m'avoir permis de vivre une année comme celle-ci, où malgré les impressions ai-je pu resté renfermé sur moi-même.
Rien qu'à titre d'exemple, il y a un an, jour pour jour, je n'aurais jamais eu l'idée, l'état d'esprit, la maturité (ou non) d'entreprendre ces écrits, permettre à des "inconnus" (ce que vous étiez à ce moment là, avouons le.) d'entrer dans mon univers, dans mon monde.

Des noms? Non, aucun, pas besoin.
Vous étiez 15, j'espère le resterez, et j'en suis sûr, vous reconnaîtrez.


Merci.
Franchement, merci.

Vendredi 4 juillet 2008 à 0:13

Anecdotes d'une nuit, anecdotes d'une vie...


Parce que quoi que l'on puisse dire, il m'arrive néanmoins de sourire dans l'année, et parfois même de rire.

Néanmoins rire seul n'est pas une faculté que je possède, alors tu te trouves un ami, et tu commences à enchaîner les conneries les unes après les autres.
Parce que cet article n'a pas pour essentiel but à plaire au lecteur lambda, je me contenterais uniquement de répertorier les perles de l'année, ces fou-rires étouffés tant bien que mal au visage des prof': on en aura vu de belles Toitoine !


1] "...petit joueur!", "Moi? Petit joueur!"
       L'introduction est faite, le défi est lancé.


2] "Tu connais Super Saumon?, "Et son barrage en kryptonite?"
       Super Saumon, Super Saumon,
       Est-ce qu'il peut, remonter le barrage?
       Bien sûr que oui, Super Saumon!
       Prends garde..! Super Saumon, y a de la Krypto' dans l'barrage!


3] "Tiens regarde, un trou!", "File moi un stylo!"
       Nous déplorons actuellement la perte de dizaines de stylos en cours de mathématiques, salle 109N.
       Quiconque retrouvera nos stylos se verra attribuer notre plus grande gratitude, ainsi que notre plus vive affection.


4] "C'était petit. Comme 33.", "Han, c'était gros ça, comme 15.", "Pfff, c'était -pas- futé, comme 35."
       Soyons clair, quiconque ayant trouvé la signification de ces divers numéros (pas seulement ceux affichés ici présents) devra prendre rendez-vous, en contactant à son choix, 1 ou 35.


5] "T'as fini de la fixer?", "[Silence]", "Tu veux que j'y file ton numéro?"
       Tout est parti de là, que ce soit 33 ou 35, elle, eux, lui, moi, tout je vous dit.
       Je suis néanmoins certain qu'Auger aurait été ravie d'avoir ton numéro 'toine.


6] "Donc si vous prenez la racine du PIB divisé par l'excédent brut d'exploitation de...", "Regarde Nat'!', "Gné?"
       Calculatrice: 0+0 EGAL TETE A PEDROS.
       Pedros: "Ça va les garçons, vous vous en sortez?"
       Calculatrice, Toine, 'Tan, en coeur: "Oui oui!"


7] "Vwiiip", "VWIIIIIIIP", "Vwooouuup?", "Vwiiiiip vwoooup?"
       Donnez leur 2 trousses, 2 sacs, une heure d'anglais...
       Et vous obtenez une symphonie de Vwip' en Ré mineur.


8] Compil' conneries 'Toine.
       Auger: "Donc vous aurez l'un des deux sujets suivants, et uniquement et seulement l'eau, PAS le bois nom de dieu."
       'Toine: "Donc... le bois on le fait quand en fait?"

       Cantine X: "Donc vous en avez besoin pour ce midi?"
       'Toine: "Bah... oui?"
       Cantine X: "Nan nan nan nan nan!"
       'Toine: "Comment ça nan nan nan nan nan?"
       Cantine X: "Il fallait venir plutôt pour recharger ce midi!"
       'Toine en sortant: "Bordel c'est vraiment à la gueule du client ici..."

      
'Toine: "Anywhere out of the world... ON MY FLYING CARPEEEEEEEET!"
       'Toine en tapis volant: "Pchiouuuuuuuut!"


9] Compil' conneries 'Tan.
       Lisbobo: "Donc qui peut me donner le nom d'un résistant au panthéon?"
       'Tan: "...Jean Gabin."

       'Lou: "Donc t'as eu quoi à l'oral?"
       'Tan: "Les lettres paysannes."
       'Lou: "Paysannes... persanes tu veux dire?"
       'Tan: "Nan nan, paysannes."

       'Tan: "Encore 4 heures..."
       'Toine: "Je t'ai connu plus futé."
       'Tan: "M'en parle même pas."
       'Toine: "Un repas de classe acheté, une corde offerte."

       'Lou: "Je vous offre une glace?"
       'Tan & 'Toine en coeur: "Ouai bien sûr!"
       'Tan après quelques secondes de réflexion: "Attends... parce qu'il faut se lever en plus?"


10] Travail sérieux... euh, scolaire.
       Pour des soucis d'anonymat, de sécurité, et parce que ce blog peut tomber entre n'importe quelles mains, parfois mauvaises, nous nous contenterons simplement de rappeler ces bons vieux TPE savamment préparés, ainsi que l'ECJS (qui,Ôh grand dieu, n'a jamais été fait en 15 minutes montre en main, juste avant le passage devant la classe, mais qui a bel et bien nécessité cette année de travail, d'effort, et d'acharnement pour mériter ce 15, qui jamais ne nous a encouragé à regarder des épisodes de Death Note en plein cours.)



11] Les murs ont des yeux.
       Et le sol des oreilles. Soyez prudent, pensez toujours à porter en permanence une fourchette sur vous, ça peut vous sauver la vie.


Il ne s'agissait que d'un petit échantillon,
Et qui, je l'espère, ne sera jamais achevé.


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